Umea Jazz Festival
Le dernier Week-end d'octobre s'est déroulé le festival de jazz d'Umea dans le centre culturel de la ville. Un centre plutôt bien fait et une salle principale superbe.
Rien à voir avec un petit cabaret et donc pas forcement dans l'esprit Jazz mais le travail des ingés du son était impeccable et pour les puristes pas contents, un club qui jouxte le batiment est ouvert une fois / semaine.
Au programme de ce samedi donc :
C'est dans une ambiance bonne enfants que s'est déroulée la cure auditive.
Poussez vous les gens on voit rien
Le spectacle débute à 15 heures pas forcement pétantes vu que l'avion de Stacey et compagnie avait du retard. Bonne entrée en matière. Esprit un peu bluesy, une superbe voix. Bref atmosphère smooth pour apérojazz quoi. Je préfère dans ce registre Lisa Ekdahl. Attention Stacey sait caresser les anges quand même.
Oui elle est de dos. Et alors ?
Concert terminé... spectateurs comblés. C'est le moment pour une petite pause(toujours en musique live - le pied quoi).
Qui fait du bien ! (pas vrai Gustavo ?)
Dernière ligne droite, il est 23 heures. C'est à John Scofield de nous montrer ses talents de guitariste. Et il y parvient sans difficultés. Ici le registre est plus orienté jazzrock ce qui nous donne droit à des solos assez incroyables. Enfin tous l'ensemble se débrouille vraiment.
Plus d'info sur Scofield:
http://www.johnscofield.com/
Minuit passé, retour au bercaille, pleins de bonnes vibrations.
La fine équipe des festivaliers
Rien à voir avec un petit cabaret et donc pas forcement dans l'esprit Jazz mais le travail des ingés du son était impeccable et pour les puristes pas contents, un club qui jouxte le batiment est ouvert une fois / semaine.
Au programme de ce samedi donc :
- Stacey Kent la belle et douce chanteuse
- Wayne Shorter (qu'on ne présente plus) en quartet
- John Scofield en trio
C'est dans une ambiance bonne enfants que s'est déroulée la cure auditive.
Poussez vous les gens on voit rienLe spectacle débute à 15 heures pas forcement pétantes vu que l'avion de Stacey et compagnie avait du retard. Bonne entrée en matière. Esprit un peu bluesy, une superbe voix. Bref atmosphère smooth pour apérojazz quoi. Je préfère dans ce registre Lisa Ekdahl. Attention Stacey sait caresser les anges quand même.
Oui elle est de dos. Et alors ?Pour vos oreilles les enfants :
Dont ce petit hommage qu'elle a fait à Henri Salvador (elle adore la france, sa culture, ses festivals, gnagnagna...). Il n'impêche que cette chanson déjà magique est transcendée par l'interprètation qu'elle nous en fait:
Cette petite ira loin ;-)
__________________________________________________________________
BREAK
On sort. Kebab. Il fait froid dehors. Tiens on croise Stacey Kent.
___________________________________________________________________
Retour pour la tête d'affiche. 20 heures. Wayne Shorter, là c'est pas un bras cassé.
Il a joué dans les années soixantes et sur son CV, on croise des gars comme Miles Davis ou Art Blakey (il était donc un des "Jazz messengers"). Il a fondé Weather Report aussi (jazz rock fusion). Enfin une légende quoi.
Plus de détails :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wayne_Shorter
Et ce soir là c'est une claque je je me suis pris. Je m'explique, Wayne Shorter et ses acolytes (formation de 2000) sont partis dans un trip free jazz. de la haute voltige. Attention ca ne s'écoute pas d'une oreille ce truc. Je suis pas musicien en plus alors comprendre le free ! Ca se ressend évidemment ce genre de choses mais la concentration est aussi indispensable je crois.
En trois sessions de presque 40 minutes chacune, Le quartet me nettoit les oreilles comme jamais. L'expérience free jazz avec des musiciens comme ca on n'en ressort pas indemne. Hypnotique.
Dont ce petit hommage qu'elle a fait à Henri Salvador (elle adore la france, sa culture, ses festivals, gnagnagna...). Il n'impêche que cette chanson déjà magique est transcendée par l'interprètation qu'elle nous en fait:
Cette petite ira loin ;-)
__________________________________________________________________
BREAK
On sort. Kebab. Il fait froid dehors. Tiens on croise Stacey Kent.
___________________________________________________________________
Retour pour la tête d'affiche. 20 heures. Wayne Shorter, là c'est pas un bras cassé.
Il a joué dans les années soixantes et sur son CV, on croise des gars comme Miles Davis ou Art Blakey (il était donc un des "Jazz messengers"). Il a fondé Weather Report aussi (jazz rock fusion). Enfin une légende quoi.
Plus de détails :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wayne_Shorter
Et ce soir là c'est une claque je je me suis pris. Je m'explique, Wayne Shorter et ses acolytes (formation de 2000) sont partis dans un trip free jazz. de la haute voltige. Attention ca ne s'écoute pas d'une oreille ce truc. Je suis pas musicien en plus alors comprendre le free ! Ca se ressend évidemment ce genre de choses mais la concentration est aussi indispensable je crois.
En trois sessions de presque 40 minutes chacune, Le quartet me nettoit les oreilles comme jamais. L'expérience free jazz avec des musiciens comme ca on n'en ressort pas indemne. Hypnotique.
Concert terminé... spectateurs comblés. C'est le moment pour une petite pause(toujours en musique live - le pied quoi).
Qui fait du bien ! (pas vrai Gustavo ?)
Dernière ligne droite, il est 23 heures. C'est à John Scofield de nous montrer ses talents de guitariste. Et il y parvient sans difficultés. Ici le registre est plus orienté jazzrock ce qui nous donne droit à des solos assez incroyables. Enfin tous l'ensemble se débrouille vraiment.
Plus d'info sur Scofield:
http://www.johnscofield.com/
Minuit passé, retour au bercaille, pleins de bonnes vibrations.
La fine équipe des festivaliersLibellés : John Scofield, Stacey Kent, Umea Jazz Festival, Wayne Shorter
posted by Emmanuel at 7:13 PM
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